bres .sur le sujet de l'amnistie. N'a-t-on pas fait quel-

que rbflexion dans le puhlic de Paris .sur cette police

qui ignore. ой se trouve I,avalette, tandis qu'il reste

10 jours Paris: qu'il passe ces 10 .jours avec des Ап-

glais, (lont la conduite doit Nre suspecte аи gouver-

nement frangais, et que pourtant la police пе suit pas

de prbs et n'6claire pas t01Bes leurs dbmarches; enfn la

nbgligence de cette police est telle que si Wilson п'а-

vait pas еи la de se vanter dans ипе lettre еп-

voy6e par la poste du bel exploit qu'il а fait de sauver

ип traftre, ип criminel d'6tat, оп n'aurait pas su рау

quel тоуеп et aid6 рат qui се criminel а 6c.happ6 la

juste punition qui l'attendait.

Је vois que Hyde (le Neuville est. поттек ministre

еп Am6rique, et сотте Chateaubriand va еп Subde,

deux ultra-royalistes de moins, c'est ип dans cha-

сипе des deux chambres. Се1а n'est pas mal, car force

de zble ехадётё оп perd sou vent la cause qu'on sou-

tient. M-r Pozzo di Borgo а аи prince Castelci-

•cala; dans sa lettre il le prie de те faire ses compli-

ments et de те dire qu'il agit avec vous toujours d'ac-

cord. Quand vous le verrez, faites-lui bien mes сот-

pliments. Cet accord dont il parle est sans doute dans

les afaires que vous pouvez avoir aupr&s du gouver-

nement frangais.

Је snis persuad6 que dans ce.s .sortes de choses, il

suivra l'exemple de Саро d'Istria et поп celui de deux

Allemand.s—Anstedt et Cancrine, qui auraient (lt) e%tre

bien punis роит la nbgligence et la lbgbret(.k avec les-

quelles i1s ont tra.it6 1es arrangements роит la subsis-

de nos troupes.