cela marcher еп grande masse contre le perturbateur
du repos public.
Rien пе serait plus malheureux que d'@tre battus раг
le Corse dbs l'ouverture des hostilitbs: cela imprimerait
ипе audace аи Franyais et ип d6couragement аих arm6es
alli6es, dont l'efet moral aurait les suites les plus fa-
tales pour la continuation de cette guerre.
Је suis persuad6 que si оп agit еп grandes• masses,
avec vigueur, et que les principales arm6es еп Belgi-
que et еп sont command6es par les татё-
chaux Wellington, Barklay-de-Tolly et Wrede, tout
ira bien: mais s'il у а ип mar6chal ои ип prince autri-
chien qui aura le commandement d'une de ces arm6es.
il у aura du d6cousu.
Је suis trbs-curieux, топ cher Michel, d'avoir votre
opinion sur cette guerre qui ма commencer.
189.
Получ. Апр±ла, въ Праж
Brighton, 11 Avril п. st. 1815.
Је vous ai fait ип apersu de се qui m'est revenu sur
l'6tat actuel de la France et de l'6tat des dif6rents
partis qui la dominent, entre lesquels celui des јасо-
bins est si pu—nt que c'est еп faisant ип trait6 avec
еих que le Corse а ри d6trOner Louis XVIII. Се qui
con6rme cet 6tat des choses est ип article du Journal
de l'Empire du 5 de се mois que j'ai res.u (car jusqu'ik
pr6sent nous recevons tous les papiers de Paris). Marie
Balmain l'a copi6, et је vous l'envoye ici, топ tr&s-
cher Michel. Vous serez convaincu чие sans la crainte
qu'a le Corse de се parti si puissant et les тёпаде-