actuelles оп а laiss6 enfn le systbme des deux ann6es
pass6es et il у а еи ипе arm6e russe; mais c'est trop
tard: car Bonaparte а pr6venu les alli6s, les а pour
ainsi dire surpris; mais battu le 18 Waterloo, il fut
si vivement poursuivi par les (leux contmandants, anglais
et prussien, qu'ils пе lui ont pas donn6 le tems de se
reconnaftre et de rborganiser son arm6e. Bliicher et
Wellington seront Paris l'heure que је vous 6cris.
C'est la consolation qui diminue mes regrets de се que
nous n'avons еи аисипе part cette guerre. Si nos
troupes et les autrichiennes avec leurs souverains eus-
sent 6t6 ensemble Paris avec les deux mar6chaux
anglais et prussien, les afaires de France auraient 6t6
de nouveau gAt6es, соитие elle l'ont 6t6 аи mois d'Avril
еп 1814. Des id6es pr6tendues lib6rales, qu'on пе сот-
prend pas, qu'on n'est pas еп 6tat de dbfnir, mais
qu'on s'imagine de bien comprendre, sont employ6es
couvrir les choses les plus disparates. Ces memes id6es
avec tout plein de pr6ventions роит et contre des hom-
mes et des choses, auraient enfant6 beaucoup de mesu-
res aussi fausses que contraires аи repos de l'Europe:
car les troubles de 1а France auraient ressuscit6 dans
ип ап ои deux. Jamais ces troubles пе fniront si оп
laisse des germes роит les faire revivre, сотте оп l'a
fait еп 1814. Ainsi c'est fort heureux pour l'Europe,
quoique malheureux pour notre arm6e, que cette arm6e
et celle des Autrichiens sont rest6es еп arribre.
Је vous envoye le Morning - Chronicle et le Times
d'aujourd'hui, par lesquels vous verrez que la chambre
des communes а rejetb l'application que les ministres
lui ont faite de la part du prince-r6gent, роит аидтеп-
ter de 60 1. st. le traitement du duc de Cumberland.
Tout le public еп est enchant6.