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Получено 24 ]юла.
l,ondres, le 14 СЛ) Juillet 1815.
Сотте m-r Laptef т'а dit qu'il partirait је
l'ai pri6 de vous remettre cette lettre еп mains propres.
et si vous n'@tes pas Рабе, de la remettre т-г
Boulgakof.
Је profte de cette occasion роит vous conter ипе
anecdote qui restera entre nous. А bataille de Wa-
terloo, pendant le moment le plus critique, le duc de
Wellington va lord Uxbridge et lui ordonne d'atta-
uer la cavalerie ennemie avec З ои 4 brigades de са-
valerie qui Ctaient ensemble; се lord, qui est extr&-
mement • , mais qui n'est que се1а, lui r6pond qu'il lui
suffit de sa seule brigade сотро"е de З rbgiments
d'huzards; mais le duc lui confrme l'ordre de faire la
charge avec toutes les brigades qui Ctaient lh pr6sen-
tes, apNs quoi le duc se porte vers ип autre endroit.
Еп attendant, Uxbridge. s'obstine пе faire l'attaque
qu'avec sa brigade favorite; il la et cette brigade
fut comple3tanent d6truite, et la bataille allait «wre per-
(lue par l'encouragement qu'a еи la cavalerie victorieuse
des Franeais et par le dbcouragement que cela don•
па celle des Anglais. Le duc, averti de cela, дат-
lopa tout furieux vers le point ой la brigade d6truite
laissait ип vide, ft avancer les autres brigades et se
tournant vers Uxbridge. il lui dit: l'un de nous deux
doit quitter l'armbe, car il пе peut pas etre
deux commandants. Quelque terns aprbs, l'inconsi-
d6r6 lord fut bless6, le duc r6tablit l'ordre, et сотте
* ) Такъ въ поџинннк%; в±роятно опущено сдово brave.