que cela regarde les fnances. Је те souviens que le
marCchal Roumantzow 6tait laborieusement оссирб
de la politique, quand il Ctait 0blig6 de s'occuper des
troubles de Pologne, qui 6taient dans son dos, et des
manigances perfdes des Autrichiens, qui Ctaient sur son
Папс, et-qu'au moment que s'op6rait le premier partage
de Pologne, les cours de Berlin et de Vienne, ayant
ofert leur m6diation роит notre paix avec les Turcs,
que notre cour а accept6e, ces deux chers alli6s, qui,
pour s'btendre au-delh de се qu'il Ctait convenu dans
leur lot de се partage, trouvaient plus commode роит
еих de nous occuper, аи lieu d'&ider la paix, l'entraver
sous main Constantinople et аи congrbs de ВиКа-
rest qu'elles frent manquer: le mar6chal а 6t6 forc6
d'user d'intrigues contre intrigues, et ипе аппбе aprbs
il ft la paix sans que. les autres, qu'il ccarta, ayent ри
l'empecher.
Је vous suis bien 0blig6 de m'avoir communiqu6 la
lettre de Gneisenau. Elle est trbs-int6ressante. Је•пе la
montrerai personne lord Pembroke qui est trbs-
discret et је vous la renverrai par ипе occasion ь8й1•е.
Је пе suis pas surpris qu'il у а quelqu'un de triste
chez nous, ой les afaires sont dans ип d6sordre si
аТ•еих, moins que Dieu, qui nous а toujours aid6s,
пе s'en m61e.
223.
Получ. Марта (7 Апр±ла).
l,ondres, le 10 (22) Mars 1816.
J'ai lu et relu avec grand plaisir le rbglement que
vous avez prescrit dans votre corps, аи sujet des соп-
seils .de guerre. Vous avez bien raison de dire чие,