propre pays et dans 1es pays btrangers dans lesquels

vous avez t;t6 employ6. Је montrerai cette gazette de

Leyde h. votre digne soeur, qui еп jonira autant que

tnoi. Elle пе vous $crira рая aujourd'hui, parce qu'elle

а beaucoup faire.

Elle est toujours, ainsi que .son mari, r6solue de ve-

nir vous voir МаиЬепде: mais ils пе peuvent pas

savoir encore le tems ой ils pourront avoir се plaisir,

parce que lord Pembroke (loit faire ип voyage еп Irlan-

de. Quant moi, је serai c,hez vous vers le соттеп-

cement de Juin. C'est vers la fin de Mai que Marie * )

partira роит la Russie рат тет, et сотте је пе la те-

ven•ai plus et que је veux lui (lonner l'assistan-

се qui d6pendra de moi роит се voyage, је пе роит-

rai quitter Londres qu'aprbs .son (lbpart. Elle а 6t6,

trbs-malade, cette pauvre femme, et elle est encore hien

tiiible et se remet trbs-lentement, n'ayant pas тёте la

force de marcher. Elle, Catinka, m-elle Jardine, la pr.

Galitzine, lord Pemhroke, le pr. Castelcicala, l'amiral **)

Nicolai et le comte Lieven vous fbnt leurs amiti6s.

Се que vous dites de J—ais restera entre nous. Је

crains que le voyage de L60n Paris пе le rattache

de nouveau cette ville par la prbsence de cette та-

gicienne qui l'a ensorce16. А moins que vous пе vous

adressiez encore cette Armide elle-m6me pour qu -

elle 1е fhsse revenir son .poste et son devoir еп le

chassant de Paris,je crains qu'il п'у prolonge son s6jour.

Је suis charmb de savoir qne vous rnontez tous les

jours et beaucoup cheval. Il п'у а rien de mieux

чие cet exercice pour se maintenir еп bonne sante$,

т) Марья Васильевна Дебальменъ.

Архпт Квази Воронцов.. ХУ Н.

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