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Parlement cette afaire,
pouvant l'approu ver et пе
voulant pas voter dans ип sens орромк .son ami m-r
Pitt. J'ai demand6 :nylord Grenville. pourquoi son
cousin approuve et soutient ипе transaction qu•il п'аи-
rait jamais faite lui-nulme. ll
п'а ри trouver d'autre
raison et avouait. qu'elle (ktait, bien faible: c•est parc.e
que m-r Pitt, ayant стёб. le. ministbre actuel. le sou-
tient сотте son рторте ouvrage. Mylord Grenville еп
est tr&s-afflig6, et il r&gne ип grand froid entre. ces
deux parents qui Ctaient si unis autrefois. M.r Pitt
а Ьеаисоир perdu d•amis et est plus та! que, jamais
avec le roi, qui abhorre, cette paix et qui aurait ren-
voy6 le. minisRn•e, si m-r Pitt пе. le soutenait pas de
tout le poids de l'influence, qui lui reste. Еп attendant,
cette paix perd ses adorateurs ici; оп s'apercoit qu'elle
est mauvaise et que sa c10ture Amiens пе rum6lio-
rera pas, vu l'extrerne faiblesse du minist&re, contre
lequel оп соттепсе se fAcher de се qu'il и permis
la sortie des escadres francaises de Brest et de Roche-
fort pour aller аих Indes ()ccidentales.
Il faut avouer aussi, qu'except6 lord St. Vinc,ent,
аисип des chefs des dt;partements n'est sa place et
qu'en mettant part le premier lord de l'amirautb,
tous les autres ministres manquent de. talents et de
fermetb. et qu•ils sont d'une pusillanimitt; qui f&it piti6.
Vous voyez combien toutes ces circonstances sont
favorables Bonaparte, qui пе tire toute sa gloire.
militaire et politique que. de l'ab.snrde. politique et tra-
hison des cour.s de Berlin et de Vienne, de la stupi-
(lit6 de lEspagne et de la stapidit6, de. trahison
(les g6n6raux autrichiens qu'il а eus c,ombattre. Mais
quand оп lui а remontrb„ de la fermetb, сотте St.
Јеап d'Acre, il а 6choub contre ипе poignbe de monde
Архпвъ Квяи Во—оп. ХУИ.