чие voUs sachiez h votre •levoir.

Је avoue

que је crains роит votre sant(3,

q ип nd vous nu»nterez

la garde pendant les froids (le по.ч horril)les hiver.s.

(Yest surtout роит vos pieds et vos mains que

је redou te

le froid, сат се sont les parties

il voUs 6tait le

p1us sensible.

.lt.•ro 1Ю2 года графъ С. Р. Воронцовъ провел въ Pocci'I.

на

обратнонъ пути за границу сынъ провожалт. его до Риги.

29.

Berlin, le З 1.X-hre

Оп nous а trait6s ici avec benucoup de politesse et

d'attention. Је n•ai pas vu (le parades, сат tous les

r&iments еп garnison ont chacun leurs postes а

part auxquels ils fournissent les gardes qni vont tout

droit de leurs quartiers анх postes, et tout са se fait

trbs-simplement et sans апсипе de ces c6rbmonies

dantesques et minutieuses que la tactique gatchinoise

а introduites chez nous. Le gouvernellt•

militaire et 1е

eommandant n'ont pas la dixibme partie de la besoone

dont i1s sont accab16s chez nous. parce qu'ils пе. se

mNent pas (les minuties et пе vont pas еп inconuno-

• der le Souverain, ni 1ui 6crire des rappm•ts

sur (les choses triviales et inutiles.

.J'ai еи la satisfaction, que је (lbsirais (lepuis long-

temps d'avoir, de fa.ire. la connaissance (le се gouver-

neur militaire, qui est le marCcha1 Мое]-

lendorf, le meilleur gbnbral (le l'6c01e suhlitne du grand

Fr6d6ric. А la plus profonde c,onnaissance de l'art

militaire il joint ип соир d'oeil et ип- gCnie supbrieur

чие la natuye lui а donnb. ll est aussi poli que то-