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20 jnvier 1801.

Profiiant Де l'occasion que m'oTre le d6part de notre bon

Nma\ је B'emptesse, le comte, de vous r6pondre sur

la Etre qu ј'и le plaisir db reoevoir hier de vous. Аи sujet

SB@ois Зе пе sauais dire l'heure qu'il est rien

autre chose, sinon que сеих que j'ai vus ici depuis les ordres

l'ot»rgo ont l'air d'avoir 6t6 frapp6s de la foudre. Netzel

а. Ш те voir et пе c•nter ses il dit que son

pys Bt rjn6 $pw•factv J'ai tach6 de [е consobr ет lui

jdant вв avant l6gbrgnent plasjeurs moyens dont ils pour-

rahnt put-6tre se servir pour se tirer d'afaire et j'eus soin

d'observer lequel de шоуевд produirait sur lui le plus

d'afet; at је пе fug рад du tout sarpris de voir чие c'6tait

си Де поив tournu casaque et de se joindre, s'il 6tait роз-

вах An*is, сошще поив l'ayons toujours cru. „Сек

„g'est роыЫе, dit-ib сф n'e8t pas pos.siblB, nous serons

„ent»remont ruin6; j'ai toujours dit qu'il пе falhit pas trop

„и lbr анев lEmpereur; d'ailleurs, qu'est•ce qw c'est que

„оше amlij•n avw trois nations qui пе peuvent pas se

„ntirtg Iais поив Т.шед sur le chapite des

sNus tirer T6piBBe dlLieu, il lui est Юаррб quelque ehose

est tr&aract6ristique et qui, selon jette ип grand

јаи рих oanduitb ,Iais les Anglai8, dit•il, пе veNent pas,