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qu'au commencement de f6vr. prochain. Lh топ рте-
mier soin sera de reprendre avec vous. m-r le comte,
ипе correspondance dontj'ai toujours trop senti le prix
роит пе pas la cultiver avec plaisir et assiduit6.
81.
Viennc, се З (15) janvier 1804.
А та seconde conch6e de Paris, Baykof, qui у re-
tournait еп courrier, т'а remis votre lettre du 13 (25) nov.
dernier, qu'il а trouv6e Berlin. А топ arriv6e ici
.j'ai rec,u celle que vous avez еи la bont6 de m'6crire
еп date du (13) d6cembre. Toutes deux ont 6t6 роит
moi ип sujet de satisfaction et ип motif de nouvelle
reconnaissance pour l'int6rOt constant que vous vou-
lez bien prendre moi. Sans doute, је dois те fdli-
citer de m'Otre tir6 si honorablement de la trame
odieuse que les lnain.s sc6l6rates de се mis6rable de
Talleyrand ont ourdie contre moi. Је le dois la та-
gnanimit(5 de l'Empereur aussi bien qu'i la bienveil-
lance et l'6quit6 de m-r votre frbre. Mais est-il dans
les fastes diplomatiques ип seul exemple de laichet6 et
de bassesse pareil celui que cet ex-frocard vient de
donner? Et combien пе sont pas lilaindre les cabi-
nets des grandes puissances de se voir r6duits trai-
ter avec се sycophante, qui se јоие (Теих tous avec
l'impudence la plus d6g00tante. Vous те marquez,
m-r le bomte, que vous avez regu de P6tersbourg tout
се que j'avais еп cour аи sujet des esclandres
qu'on т'а faits Paris; mais је пе sais si m-r votre
frbre vous а communiqu6 copie de mes lettres parti-
culibres, et соттеје п'еп ai point gard(5 de minute, је