de madame de Belzunce, orphelins de pbre et de тёте,

snbsistent de l'aum0ne de notre adorable Imp6ratrice-

Мёте. La comtesse de Bueil, prot6g6e, depuis qu'elle

existe, par la Russie, пе subsiste, aprbs qu'elle а

6t6 d6pouill6e еп France, que des bienfaits de la

Russie; mais elle doit les partager avec son mari et

ses trois enfans, qui la mettent dans l'impossibilit6 d'en

rien d6tacher роит sa тёи•е et роит ses neveux.

Је dois encore observer votre excellence que l'an-

пбе dernibre, lorsque mourut, le Cabinet

imp6rial ft remettre sa veuve la portion de sa реп-

sion 6chue еп 1Ю2 аи moment de son d6cbs, mais

oublia de lui раует les quinze cents livres tournois qu'il

lui devait encore роит l'ann6e de 1801, dont

Wagnibre m'avait encore lui-m@me envoyb la quittance

роит la remettre аи Cabinet de Sa Majest6 аи moment

ой il те ferait toucher cette somme роит lui. Cette

тёте somme роит la тёте аппбе 1801 est (Те aussi

т. de Meister; car lorsque, рат la protection sp6-

ciale et effcace de votre excellence, cette pension fut

r6tablie аи commencement de l'ann6e courante, le Са-

binet т'еп ft remettre l'ann6e НЕ, mais oublia l'an-

пёе 181, qn'il n'avait pas раубе encore. Un mot de

votre excellence аи chef du Cabinet ferait sans doute

terminer cette afaire, et l'ordre ипе fois r6tabli, notre

bienfaiteur n'entendrait plus parler que de notre recon-

naissance.

Је suis avec ип profond respect, monseigneur, de

votre excellence le trbs-humble et trbs-ob6issant servi-

teur le baron de Grimm.