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Кь неиу же.
Monrepos, се 8 juiHet 1802.
D6j& l'ann6e pass6e, lorBque m-r d'Avzow а quitt6
sa place de conseiller la chancellerie de l'Acad6mie,
m-r le grand-chambellan comte de Stroganow те parla
de m-r Novossiltsow роит cette place. Је lui exposai
les raisons qui пе те permettoient pas de remplacer
m-r Avzow, l'Empereur dbfunt m'ayant реи de tems
auparavant accord6 ип vice-pr6sident condition que
dans [а chancellerie, ой il devoit si6ger avec тоу, il
п'у auroit plus qu'un conseiller, аи lieu de deux qu'il
avoit auparavant. Le тёте ordre subsiste encore:
nous sommes З la chancellerie, et је пе puis pas
prendre sur тоу d'y ajouter ип 4-те membre. L'extr@-
те envie que j'ai d'obliger et vous et m-r le c-te
Stroganow, et m-r Novossiltsow, т'а bien fait penser
la possibilit6 de r6tablir, dans le nouveau rbglement
auquel оп travaille, le nombre de deux conseillers,
auquel cas је demanderois bien certainement m-r No-
vossiltsow, n'ayant г: pris, ni тёте ри prendre аисип
engagement ant6rieur. Mais j'apprends sous main que
m-rs du comit6, bien loin d'@tre dispos6s favoriser
се plan, inclinent аи contraire l'abolition тёте du
seul conseiller qui nous reste, ia place duquel ils
veuillent qu'un acad6micien sibge еп tiers avec le pr6si-
dent et le vice-pr6sident, et qu'il se relbve chaque
аппбе par ип autre. J'avoue que се plan те paroit
avoir beaucoup d'inconv6nients, que је d6taillerai si оп
те fait l'honneur de те communiquer le travail du со-
mit6; et еп се seul cas је pourrai тёте insister sur
le rbtablissement d'un second conseiller, роит lequel је