nibces du comte R. d'une succession aussi consid6rable.
et qu'il пе demandait pas ип sacrifzce aussi grand
роит 6tre convaincu du zble que le comte а
mis son service. Le comte, dit-on, i— еп—е, et
qu'alors l'Empereur а dit „Vous apprendrez dans quel-
ques jours, monsieur le comte, la manibre dont је
appr6cier et r6compenser le m6rite et les services
longs et importants que vous m'avez rendus“. Cette
r6ponse vague а fait croire que l'Emp. accepta le palais
Razoumovsky et qu'il lui destinait la place de chance-
lier. Сотте оп sait cependant que le comte пе se
soucie pas de retourner еп Russie, оп suppose qu'apr&s
avoir obtenu се titre, il reviendrait ambassadenr ici et.
resterait dans sa propre maison. Аи d6part de LL. ММ.
il faudra bien que cela se d6cide. D'autres personnes
croyaient volontiers que l'id6e du mariage probable
de la grande-duchesse avec l'archiduc Charles avait
fourni аи comte R. ип motif pour faire cette
quelques bassesses assez marquantes que tout le monde
а 0bserv6es dans cet homme superbe et hautBin, у
ajoutent de la vraisemblance. Le comte Stackelberg
lui-m6me а еи de vives inqui6tudes; mais il parafb qu'il
s'est calm6 depuis que l'Empereur а daign6 assister
son bal, il у а quelques jours, et qu'il lui а promis d'y
revenir ипе seconde fois. La conclusion la plus pro-
bable qu'on puisse tirer de се bruit est, selon топ
opinion, que l'Empereur ayant• voulu donner ип grand
dfner le lendemain de l'anniversaire de la bataille
de Leipzig, аих g6n6raux et oficiers de toutes les puis-
sances alli6es, le comte R. lui а propos6 son va8te
local, et сотте еп efet, се dfner а еи lieu dans sa
maison, оп l'a interprOt6 de toute autre manibre. Се
dfner а еи lieu le.7 (19), et оп assure qu'il а