der. Сотте le S(Vt de la Saxe, qui va d6cid6ment atre

morcel6e еп trois parties, т'а assez d6g00t6 de la ро-

litique, роит mod6r6r та curiosit6 et que је п'еп de-

mande plus de nouvelles, је пе saurais vous еп don-

пет, monsieur le comte. аисипе notion satisfaisante. Оп

п'а rendre banale la royaut6, еп faisant cinq ои

six nouveaux rois; l'Europe п'еп sera ni plus tran-

quille ni plus heureuse. Si l'on continue le systbme de

Buonaparte, celui de faire des partages, des 6changeg,

dps trocs, dont la suite naturelle et 6vidente est que

les peuples пе sont et пе peuvent jamais 6tre attach6s

leurs souverains, qu'ils regardent сотте des mait,res

ad interim, оп doit renoncer l'id6e et l'espoir de

rendre la paix durable; аи оп sbme le ger-

те de discorde et des guerres fu.tures dont la postb—

rit6 пе nous saura pas gr6. Еп punissant le roi de

Saxe, avec raison, је crois, puisqu'il est ,јидё par ses

pairs, il п'у а pas de justice de punir sa nation qui

s'est bien conduite, et qui pouvait toujours avoir ип

roi parmi les. autres branches de la famille r6gnante

depuis si longtemps еп Saxe. Malheureusergent оп а

l'air d'avoir mis роит base du congrbs d'6loigner la

personne de Buonaparte, mais рад sa politique, qui

convient si fort l'Autriche pt la Prusse.—()n dit

que la Pologne nous appartiendra, поп сотте royau-

те, mais сотте duch6 de Varsovie. Ј'еп suis fAche;,

parc.e que les choses пе devraient jnmais se faire

demi; d'ailleurs, le rbtablissement de la royant6, dans

la personne de l'Empereur de Russie, а 6t6 promis еп

quelque sorte аих Polonais, et il п'у а qu'en flatt.unt la

vanit6 extreme de cette vile et turbulente nation, qu'on

pourrait la tenir еп repos. Elle serait tout aussi ab-

jecte devant ип grand-duc роит vice-roi, qu'elle l'a 6t6