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pari8, се aoat 1817.
Soyez persuad6 que le• гоу de Prusse est vena ici
seuIement ропг• jonir des plaisiN de Paris. Н court de
tous c•6t6s, et il s'amuse. П поид а fait i'honneur de
venir chez nous le %, et il est •rest6 jusqu'& deux
henFes et demie. П а 6t6 trbs-m6content de ses trou-
pes, mais 1es g6n6ranX francai8, et је erois сеих de
votre' nation, leg ont trouv6es f0rt: bien. Le roy de
Pt•usse dit la revue, qne l'01i ft аи ehamp de Ман
ici il у а qtelqnesjours, que c'6tai@nt de•fort belles troti-
peS, et apRs il ajouta:•' „Dieu Hsse qu'elles soyent
bonnes“. • Ceci а Ct6 foft imprudent; et fait Ьевисоир
iarler. Le grand атопг des plaisirs de- Paris dans ип
souterain alli6 n'est pas поп plus tont се• qn'il у а de
plus dbsirable.
Се voyage п'а pas phi cette cour, mais elle B'est
conduite avec beaucoup de prndence, et m-r le comte
de Ruppin еп est fort satisfait. Ье comte est venu d6-
sorganiser le syst>me social ici. Il dtne 2 heures. ll
у а роит loi de nombreuses invitations, il faot aller
le rencontrer ипе telle heure.
Је vous suis reconnaissant de
vez de consolant snr cette chbre
avez raison d'attribuer son salut,
le monde, son auteur, savoir
ее que гоид m'6eri-
Angleterre, et vous
qui est celui de
m-r Pitt.