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Се 9 juillet 1803.

Је vous avoue, monsieur le comte, que је d6sirerais

remettre la pr6sentation de l'ambassadrice de Vienne

dimanche еп huit: l'6tat d'igqui6tude dans lequel је

те trouve те rend si vuide d'id6es, si mal plac6e еп

soci6t6, qu'il faut toute l'indulgence des n0tres pour те

t016rer, mais је пе puis attendre, ni chercher се sen-

timent d'int6r@t qu'on prend та peine, dans ипе

6trangbre. J'espbre que dans la huitaine. avec l'aide

de Dieu, топ courrier sera revenu, et que је sgaurai

alors аи juste l'6tat de та pauvre flle. Excusez. је

vous еп prie, се retard chez l'ambassadeur et l'ambas-

sadrice, monsieur le c.omte. еп leur faisant mes сот-

plimens. Le р-се h6r6ditaire de Weimar nous arrivera,

је crois, la fn du mois. Il faut avouer que топ Ате

est bien 6prouv6e dans се moment. Adieu, monsieur le

comte, j'appr6cie vos sentimens et vous assure des

miens.

Marie.