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37.
P6terhof, се 20 aoat 10.
J'espbre. monsieur le comte, que l'air natal fera
du bien votre sant6, et j'approuve bien fort que vous
vous etes donn6 cette distraction, qui vous est trbs-
n6cessaire. Је vous envoie, monsieur le comte, les deux
derniers bulletins de та pauvre fille. H6las! ils пе sont
pas consolants. J'attends d'un jour l'autre le reiour
d'un courrier. Dieu veuille que les nouvelles soient
plus satisfaisantes.
Рат la confance que vous m'inspirez, monsieur le
comte, је joins ici les copies de mes lettres топ
frbre l'61ecteur et аи prince, son fls; је vous prie de
les lire et de те les renvoyer. J'espbre qu'elles feront
efet sur tous deux. et qu'ils se rendront mutuellement
mes repr6sentations. Је verrai demain еп ville m-r
renvoy6 d'Imirette. Adieu. ionsieur le comt,e, c'est
bien sincbrement que је vous renouvelle les assurances
de mes sentimens роит vous.
м.