— 325 —

ПО.

Pawlowsk, се 15 juin 1805.

Еп v6rit6, monsieur le comte, j'ai besoin de toute

votre indulgence роит excuser топ long silence, et топ

реи d'exactitude r6pondre д. vos dernibres lettres; је

pourrais у al16guer cependant plusieurs raisons, qui

peuvent m'excuser; la maladie de mes deux fltes, qui

ont. еи chacune la coqueluche dans ип degr6 qui, quoique

nullement alarmant, 6tait cependant trbs-inquibtant, et

тёте j•ai 6t6 attaqu6e d'une toux trbs-violente et de

longue dur6e, qui avait de grands rapports avec la

coqueluche, sans l'@tre cependant се que је soutiens,

nais qui toujours т'а rendue malade et souffrante plus

ie quatre mois; il а fallu et le v6sicatoire et la snign6e

»our т'еп d6barrasser, ayant crach6 le sang: toutes ces

ncommoditbs r6unies m'ont rendue apathiqne, m-r le

•omte, et paresseuse. Се n'est еп v6rit6 que depuis que

е suis 6tablie la сатрадпе, que mes flles et moi

ous sommes remises parfaitement. J'entre dans tous

es d6tails роит vous engager, monsieur le comte,

ser d'indulgence pour moi. $ai revu m-r votre neveu;

у а dix jours qu'il est venu ici, ипе indisposition

avait emp6ch6 d'y venir plus t6t; је l'ai trouv6 bien

nnis des fatigues de la сатрадпе, ayant pris тёте

la quarrure, et s'dtre fortif6. Је l'ai pri6 de venir

Pawlowsk quand il le voudrait, је l'y verrai toujours