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ПО.
Pawlowsk, се 15 juin 1805.
Еп v6rit6, monsieur le comte, j'ai besoin de toute
votre indulgence роит excuser топ long silence, et топ
реи d'exactitude r6pondre д. vos dernibres lettres; је
pourrais у al16guer cependant plusieurs raisons, qui
peuvent m'excuser; la maladie de mes deux fltes, qui
ont. еи chacune la coqueluche dans ип degr6 qui, quoique
nullement alarmant, 6tait cependant trbs-inquibtant, et
тёте j•ai 6t6 attaqu6e d'une toux trbs-violente et de
longue dur6e, qui avait de grands rapports avec la
coqueluche, sans l'@tre cependant се que је soutiens,
nais qui toujours т'а rendue malade et souffrante plus
ie quatre mois; il а fallu et le v6sicatoire et la snign6e
»our т'еп d6barrasser, ayant crach6 le sang: toutes ces
ncommoditbs r6unies m'ont rendue apathiqne, m-r le
•omte, et paresseuse. Се n'est еп v6rit6 que depuis que
е suis 6tablie la сатрадпе, que mes flles et moi
ous sommes remises parfaitement. J'entre dans tous
es d6tails роит vous engager, monsieur le comte,
ser d'indulgence pour moi. $ai revu m-r votre neveu;
у а dix jours qu'il est venu ici, ипе indisposition
avait emp6ch6 d'y venir plus t6t; је l'ai trouv6 bien
nnis des fatigues de la сатрадпе, ayant pris тёте
la quarrure, et s'dtre fortif6. Је l'ai pri6 de venir
Pawlowsk quand il le voudrait, је l'y verrai toujours