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111.

Аи Palais Taurique, со 13 septen:bre 1805.

J'ai reeu еп son tems, monsieur le comte, la lettre

que vous avez bien voulu m'adresser роит та fdte et

vous еп suis sensiblement 0blig6e; j'ai le grand tort de

п'у avoir pas r6pondu plus t0t, mais si vous voulez

bien penser, monsieur le comte. toutes les inqui6tu-

des du moment. vous m'excuserez. J'avoue que. l'at-

tente du d6part de топ fls, et la cause .de се (ldpart,

absorbaient toutes mes pens6es. Је п'еп suis pas moins

sensible роит cela аих voux que vous faites роит топ

bonheur; il est concentr6 роит moi dans la conserva-

tion de. mes enfans, le bonheur du rbgne de l'Empe-

reur et de son Empire. Dieu veuille b6nir les entre-

prises de топ fls, et les mener la fin, аи but qu'il

se propose: celui d'assurer la tranquillit6 1'Europe,

et је те trouverai heureuse. Adieu. monsieur le comte;

soyez persuadb des sentimens que је vous porte et

avec lesquels је serai toujours

votre bien afectionn6e

Marie.

Monsieur votre neveu nous а quitt6s еп bonne sant6,

est venu те dire adieu quelques jours avant son

16part. Il continue etre g6n6ralement estim6.