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4.

А Varsovie, се2 mars

J'ai reeu dans son temps, monsieur le comte. etayec

ипе vive sensibilit6, votre lettre du 19 aotit. Depuis.

le comte d'Escars т'а rendu compte des entretiens

qu'il а eus avec vous; ј'у ai reconnu la noblesse. l'6ner•

gie de votre caractbre et, j'ose aj6uter, votre amitit;

роит moi. Voici ипе circonstance ой .j•ai le plus pre,'-

sant besoin de tous ces sentimens. је les invoque анес

сопбапсе. Trouvez bon cependant que роит m'bpar-

gner ici de longs dbtails. је те r6fbre сеих que j•ai

chargb le comte d'Escars de vous donner sur та ро-

sition, rextraordinaire ouverturo que j'ai reOe et се

que l'une et l'autre те rendent absolument n6cessaire.

Је vous prie, monsieur le comte, bien persua-

d6 de та haute estime et de tous mes bons senti•

mens роит vous.

Louis.

А monsieur le comte de Woronz0'tv.