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А S-t P6tersboarg, се 28 septembre 1759.

Је vous avais pri6, топ neveu, de пе point char-

ger aussi souvent de gros paquets les courriers de

France, et је пе puis qu'6tre surpris du реи d'atten-

tion que vous у avez fait; puisque le dernier т'еп а

encore apport6 trois de votre part. Quoique m-r l'am-

bassadeur ait la politesse de le permettre, vous devez

vous appereevoir du tort que vous avez d'en abuser,

surtout роит m'envoyer des choses de si реи d'impor-

tance. Је vous recommande de vous еп dispenser par

la suite.

Сотте vous 6tes sur le point de quitter Paris, vous

trouverez cy-jointes des lettres роит m-r le duc de

Chaulnbs et de Labersac et т-те la marquise de l'H0-

pital, afn de les remercier des bont6s qu'ils vous ont

marqu6es pendant votre s6jour еп France. J'espbre

que les t6moignages qu'ils rendront votre conduite

feront honneur et rempliront de satisfaction votre

pbre et moi.

J'ai 6t6 trbs-natt6 de се que vous m'avez mand6 de

l'afection dont m-r le duc d'Ayen vous honore.

Я писагЬ кь гра•у Михай% Петровичу *), чтобъ, въ сиу-

чав отъ%ада вашего въ онъ исходатайствовалъ

въ пользу вашу рекомендательныя письма отъ ГишпансЕаго

посла и буде можно и отъ Француасваго министерства въ

Гишпанскому двору, и я уповаю, что вы, во время пребы-

Бестужеву. вашему послу во старшему брату сверженваго

ванцхера.