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2.

Се 20 janvier 1764.

Reeue Florence, le 18 de f6vrier 1764.

Еп cons6quence de vos ordres, j'ai 6t6 moi-mame

parler аи directeur de l'6cole luth6rienne роит qu'on

n'accorde point m-e11e Fichka la permission de se

coucher hors la pension; mais сотте du depuis j'ai

appris, malgr6 les promesses du directeur, que son

pbre continuait la garder chez lui toutes les nuits

des f6tes, j'ai cru devoir prendre ип autre biais роит

accomplir exactement les intentions de votre excellen-

се. Је те suis donc directement adress6 аи pbre de

la demoiselle, еп lui 6crivant ипе lettre assez polie,

mais bien forte, еп тёте tems pour lui fajre entendre

raison роит son propre bien et pour celui de sa flle.

Је lui ai 6crit entre autres, сотте quoi votre excel-

lence, ayant appris qu'il faisait assez souvent de сои-

cher sa flle hors sa pension, m'avait charg6 de le

prier de пе le point faire l'avenir, et si malgr6 cela

il voulait continuer, que j'avais ordre de пе plus payer

la pension et de le laisser faire lui et sa flle tout се

qu'ils trouveront propos.

Les divertissements publics continuent d'@tre fort

fr6quents; mais malheureusement il se trouve des gens

qui font rougir les honn6tes gens de se trouver еп-

semble avec еих, сотте рат exemple la dernibre

mascarade: 1) человђкъ• съ десять въ галерегЬ пе-

реблевадись; 2) маски покрали нгћсколько серебря-

ныхъ кувертовъ; З) у одной маски нашли въ кар-

мангВ жареную утку. des prouesses dignes d'nne

petite maison, 6tablissement auquel оп songe s6rieuse-