роит т pers6cuter; mais, si cette faeon est aussi sare

que les autres, elle пе sera que meilleure. J'ai pr06t6 d'un

bon moment que је trouvais de parler татап (se-

lon votre conseil). Је n'eus le tems que de lui dire que

j'esp6rais qu'ils пе m'abandonneraient рад dans ces соп-

jonctures, et qu'en arrivant telle insbance ои promessse

qui те fasse m-r de Stroganof que је п'у consen-

tirai point, de sorte donc que је те flattais qu'ils те

feraient la grace de те loger chez еих. Croyez donc

queje regardais cela сотте presque sore de та rupture

avec m-r de Strog., qu'ainsi је les prie de vouloir bien

те permettre d'accepter le logis дие m'ofrait та tante

(car та tante la comt. Scavronsky те prie de des-

cendre еп arrivant chez elle pour le tems que m-r de

Strog. те loue ипе maison; elle пе compte pas que

les choses sont si avanc6es), pendant le tems que l'on

ferait 'les r6parations dans les• chambres qu'elle aurait

la bont6 de те destiner. Elle те dit d'en parler

топ pbre, chose que је пе реих encore faire par le

plan que је те suis fait et dont ј'еп parlerai plus

bas. Elle Hnit cet entretien рат те dire qu'il fallait que

j'6crive votre pbre pour le prier de faire part de

tous les bruits qui courent chez nous топ pbre et

que Сенюша doit faire la тёте chose, et ensuite elle

s'en alla. Mais le matin j'avais reg,u des lettres de

plusienrs qui те confrment la chose que је savais

d6jh. Еп outre, та tante те marqua qu'elle avait

formellement pri6 l'Imp6ratrice de le s6parer de .moi;

mais qu'elle lui а dit qu'elle пе s'en m@lait pas, qu'il

6tait amoureux fou de la petite Troubetzkoy, et qu'on

а d6fendu de laisser entrer personne chez la frelle;

qu'il avait perdu 4 т. Riga et 17 Czarsk06-S6lo,

il est venu exprbs роит voir l'ex6cution de Miro-