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Rjew, се 10 avril (1816).

Il у а longtemps, топ cher Woronzow, que је n'ai

еи de vos nouvelles, et је les cherche vainement dans

nos papiers publics; vous mettez tout се que vous

faites toujours tant de modestie que votre пот пе те-

tentit pas daus les gazet.tes. Que Tschernischew connait

autrement се m6tier que vous! Је vous r6ponds bien que

s'il commandait votre place еп France, Moniteur, ра-

piers anglais et allemands, et feuilleton тёте, r6p6te-

raient son пот dans chaque раде. Аи resbe, vous те

direz l&-dessus: chacun son genre. Le v6tre est trbs

beau, топ bon ami. Је pense bien, bien souvent

vous et chaque fois је suis attrist6 de l'id6e *)

Моп 6tat те tourmente, et је пе pourrais le soute-

nir longtemps. Un brigadier est si реи de chose qu'il

voudrait mieux роит lui et surtout роит le service qu'il

n'existat pas, et cependant il doit craindre d'@tre grond6

et de r6pondre pour се dont il пе peut r6pondre

qu'en s'ing6rant dans les afaires appartenant аи di-

visionnaire, et еп empi6tant sur les droits que doivent

*) Подливвявъ этого письма по краямъ обр%завъ, в%роятно самииъ

княземъ М. С. Воронцовымъ или его супругою, которая, по ЕОНЧИ}Њ

его, иногда занимапсь разборомъ переписки и бумагъ. П. Б.