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S-t P6tersbourg, се 7 octobre (1837).

Cher ami, је vous remercie de tout топ coeur

роит votre bonne lettre du 25 septembre. Dieu soit

lou6 que tout s'est bien pass6 chez vous et que l'Em-

pereur а 6t6 content de tout се qu'il а vu. C'est ип

bonheur pour vos belles provinces et ипе grande jouis-

sance et r6compense роит vous, cher ami, qui vous

etes donn6 tant de peine depuis tant d'ann6es. Оп

6crit ici des miracles de votre сатрадпе; le р-се Wol-

konsky dit nomm6ment que c'est се qu'il у а de plus

bean аи monde. J'ai vu hier L60n Pototsky qui т'а

donn6 beaucoup de d6tails, et j'attends avec ипе vive

impatience notre ami Nesselrode qui т'еп donnera de

plus amples encore et avec lequel је pourrai parler

plus librement sur tout се qui vous concerne. Ма femme

est revenue avant-hier de Fall, ой elle а laiss6 la ver-

dure et les fleurs aussi beaux qu'au mois d'a00t, tan-

dis qu'ici il п'у а plus rien depuis ип mois. C'est ип

hasard, peut-@tre; mais il est fort agr6able. Vous пе

те dites rien de votre fls: bcrivez moi. је vous prie,

comment l'Empereur l'a trouv6.