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notre absence se prolonge jusqu'au premiers jours

d'octobre (се que је пе crois pas), vous demandriez

et obtiendriez de saite la permission de venir vous

pr6senter Berlin l'Empereur, qui aurait d'autaut

plus de plaisir vous voir qu'il aurait plus de loisir

de travailler avec •vous. Ainsi, toutes les consid6rations

que поиз avons bien pes6es pour vous m'ont d6cid6

пе рад donner de suite vos deux dernibres lettres,

et је crois que vous trouverez que j'ai bien fait.

Mille, mille fois merci, cher ami, pour •les soins que

vous donnez тев afaires de Bessarabie. Је suis

enchant6 de l'achat de b6tes, et Nesselrode а-

d6jh 6crit son homme d'afaires pour qu'il те four•

nisse de ses bergeries des b61iers et dames pour

те former ипе p6pinibre de belle race et que Stein-

holdt ait d6jh pr6par6 des bAtisses pour les abriter; је

пе dernande pas mieux d'en faire l'acquisition еп sus

des 10 qu'on vienb d'acqu6rir. Puis pour l'ann6e

roch&ine nous verrons.