358
notre absence se prolonge jusqu'au premiers jours
d'octobre (се que је пе crois pas), vous demandriez
et obtiendriez de saite la permission de venir vous
pr6senter Berlin l'Empereur, qui aurait d'autaut
plus de plaisir vous voir qu'il aurait plus de loisir
de travailler avec •vous. Ainsi, toutes les consid6rations
que поиз avons bien pes6es pour vous m'ont d6cid6
пе рад donner de suite vos deux dernibres lettres,
et је crois que vous trouverez que j'ai bien fait.
Mille, mille fois merci, cher ami, pour •les soins que
vous donnez тев afaires de Bessarabie. Је suis
enchant6 de l'achat de b6tes, et Nesselrode а-
d6jh 6crit son homme d'afaires pour qu'il те four•
nisse de ses bergeries des b61iers et dames pour
те former ипе p6pinibre de belle race et que Stein-
holdt ait d6jh pr6par6 des bAtisses pour les abriter; је
пе dernande pas mieux d'en faire l'acquisition еп sus
des 10 qu'on vienb d'acqu6rir. Puis pour l'ann6e
roch&ine nous verrons.