Пись.о князя М. С. Воронцои кь отцу его въ изъ
Персидскаго похода 1804.
TiRis, се 12 octobre 1804.
К 10. le 18 (30) x—bre 1804.
Dans mes deux dernibres lettres је vous ai parl6,
топ trbs cher рара, de batailles etc., pendant que dans
celle que j'ai 6crite d'Erivan sous le 7 du 6 jUillet
је faisais mention de l'afaire du “uin nous avons
pris leur сатр et aprbs laquelle ils se sont enfuis
frapp6s d'une terreur panique jusqu'aux bords de l'Arax.
А pr6sent је vous expliquerai comment, aprbs ипе d6-
faite aussi complette, ils sont revenus et comment notre
nombreux bagage et le manque de cavalerie, nous liant
sans rembde аи blocus, nous ont emp6ch6 de tenter
de nouveau la fortune avec еих еп rase сатрадпе.
Nous 6tions continuer le tranquillement sans
attendre d'ennemi de quelque part que се soit; le са-
ractere du soi•disant Schah de la Perse Baba-khan, соп-
пи роит etre тои et l&che, f»isait croire &tout le monde
qn'il пе bougeroit pas de Tigrane; оп disoit тете que
les troubles int6rieurs qu'il aurait craindre s'il quit-
toit sa capitale роит quelque espace de temps consid6-
rable, l'empecheroient d'en sortir jamais. Heureusement
роит поид ип ancien khan persan, Djapar-kouli - khan
de Хиђ (premibre domaine persane au-delh de l'Arax).
qui avoit servi sous Aga-Mahomet•khan et ch6ss6 par
son successeur, se trouve depuis 7 ans sans feu ni lieu