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et elle s'est toujours plu encourager et instiguer

les paysans des propri6taires rechercher des preuves

de non•ppartenance leurs seigneurs. beurs 6tats sur

les domaines 6taient si d6fectueux, qu'6tant, il у а deux

ans, Akhaltzick, j'ai d0 arr6ter la vente par ordre

de la chambre d'un jardin qu'elle d6clarait appartenant

la couronne et dont le v6ritable propri6taire se trou-

vait dans се moment Akhaltzick. J'ai demand6 des

renseignements et, quelques semaines aprbs, la chambre

а d0 m'avouer elle - тёте, que се jardin avait 6t6

inclu dans ses 6tats par m6prise (по ошибкф). Ces

m6prises sont fr6quentes, et plusieurs ventes s'6taient

faites; сдт de la manibre dont les afaires 6taient

dirig6es auparavant, il а fallu le hasar(1 de та pr6-

senee Akhaltzik pour arr6ter l'abus dans l'occasion.

que је viens de vous citer. Dans plus de vingb, peut-

6tre, de trente cas, que је pourrais vous nommer, des

paysans qui m'ont port6 des plaintes dans dif6rents

villages: que је suis souvent dans le cas de yisiter,

oat toujours r6pogdu la question queje leur ai faite

cet efet, que quand ils venaient se plaindre la

chambre, ils n'6taient pas souvent 6cout6s et que pres-

que. jamais la chambre пе faisait droit leurs pribres.

Il m'est arriv6 cependant beaucoup plus d'une fois de

leur faire rendre justice, се qui prouve que leurs pri-

bres n'6tBient pas toujours sans fondemenb. Quant la

colonisation, la chambre de Tiflis а encore plus mal

fait que dans les autres parties. Elle s'excuse avec quel-

que raison sut• son impuissance роит bien faire dans

ипе telle opbration avec les complications des usages

et des popnlations de се pays; mais elle п'а pas тёте

essay6, сотте l'a fait celle de Sch6makha, etj'ai trouv6

ипе quantit6 de familles de sectaires qui attendaent de-