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terminables, et ип langage inintelligible et absurde dans toutes
les discussions qu'on veut 61ever avec. lui.
Је suis loin de blimer le ton des correspondances de М-р
de Metternich avec M-r Champagny: il 6tait command6 par les
circonstances; mais qu'il est plaindre d'avoir ('t6 forcb de s'y
astreindr•e! Car les discussions пе prtant pzs sur la r6alit6 р-
sitive des motifs de sa cour, il s'ensuit que dans le d6tail des
Subtilit6s qu'il met еп avant, il parait quelquefois laisser М-г
Champagny la st#riorit6 du raisonnenwnt.
Quelle sup6riorit6, аи contraire, il eut acquise s•il eut 6t6
libre. de tous (lire, afranchi de la crainte d'en trop dire, et
s'il eut ри r6duire la cause de son maitre ws vrais b16ments.
C'est alors qu'il ent ри dire avec l'assentiment universel de
l'Europe. avec l'assentiment de la France et celui тёте
Ие M-r Champagny, trop 6clair6 роит пе pas l»nser сотте lui:
«L'Autriche se prbpare la guerre. рассе que l'6tat de paix
avec ип tyran, tel que vous, est pire rnille fois que la диегге;
саг la guerre prCsente (les chances, et la pai*: telle qu'il faut.
l'obseryer avec vous, пе prbsente (le. perslMtive чие Та mort.
От. si l'heure de l'AutTiche а sonn6, si elle doit p6rir et
sous vos coups, ellO doit tant de sibcles de gloire, de perir les
armes la main, et поп dans l'ignominieuse torpeur de votre
alli('• Charles IV. (Фие respecterez-vous аи moment ой vous ve-
nez d'enfoncer le poignard dans le coeur (lu plus de
allibs, аи moment ой vous avez (16tr6n6 le pbre, et l'avez еп-
suite employ6 d6tr6ner son fls: аи moment ой vous devenez
[е ge61ier (le, l'un et le bourreau (le l'autre; аи moment ой
couvrant de Напппе et de sang le (lu plus des
peuples (le l'Europe, vous (lbclaru vonloir l'enchainer et l'avilir
еп plaqant le trOne d'Espagne l'un de vos frbres, moins
que rebelle vos fureurs, il пе faille, роит l'en mieux punir,
que се soit vous qui re3gnez imm6diatement, sur l'Espagne. Quel
droit l'Autric,he a-t-elle de s'attendre ип sort moins afreu.x,
moins infime que celui qa'a subi votre vieil alli6 Charles IV?
Quelles promesses ferez-vous l'Autriche que vous n'ayez рто-