Патте d'une *ie, mais ils r6pandent assez de

mi&e pur bclairer les objets qui les entourent. Ils

wnt toujors еп mouvement, s'blevant, 8'abaissaot,

disparaiuant, revenant, se montraot plus prbs ои

plus loin. D'ordinaire оп les voit voljger cinq ои

six du sol, wus difbrentes Quelquefois

deax ои tois cherchent et joignent ensemble,

qnelquefois аи contraire ип seul se divise еп deux

paies; ils sont plus communs l'hiver que l'btb et

plus lumineax quand le est humide. ра-

raissent se plaire sur [е bord des ruisseaux, des ri-

vi&es, des marais; оп еп voit aossi parfois sur les

pays 6lev6s, mais alors iIs plus

Un voyageur qui se rendait ВовЬдпе, d6cnuvrit

еп s'approchant d'une rivibre, ип feu trbs-brillant,

qui semblait suspeadu deux pieds au-dessIB des

cailloux du rivage; се feu btait long d'un pied, large

de six роисед et parallue l'horimn. П r•andait

mt de clartb, que le voy%eur puvaitdi±guer ипе

yrtie des bordsdb la rivibre et l'eau еИе•тЬте. А те-

sure qu'il s'en approchait, il le vit changer de couleur,

et de rouge devenir јаипе et puis blanc&tre; quand

il ariva sur les lieux le feu avait disparu. Le voya-

geur continua son chemin; lor“u'il fut ип реи loin.