de tour. L'un et l'autre combattent de сеих
qui pensent que се tronc 6mrme g'est form6 de la
r6union de arbres de la тёте espbce, lesquels
oot 6ni par se toucher et s•unir. Ид опь rwueilli
les lieux des informations, d'oti il rbsulte, que le trooc
п'а jamais ео qu'one seule с.ооИпие, sans ар-
parence de ; et aujourd'hui qu'uoe grande
partie de l'6corce а enlev6e, оп пе voit qu'une
sedle de bois, се qui rend l'opinion de deux
voyageurs trbs-plau"e. Brydone ajoute qn'un пап.
rali8te sWlien lui авиа que l'arbre
п'а qu'une seule racine, се qai doit faire puser qu'il
п'у а ausi qu'un seul trooc. Houel d6pbre le sort
qai attend се magoifque cNtaignier. Се qui at plN
redouter роит lui, dit-il, que Ие пче des апоЫ,
c'est la haobe et Иа мобе des paysos , pi vont у
faice Киг provbn de риг l'hiver.
Аи milieu du tronc ипе IarF ouverture, qui
le traverse dans toute .son bpaisseur, се qui
p6che рад l'arbre de couvrir chaque аппЬе de
feuilles et de fcuits. 00 а constrait dans l'int6rieur
de cette ouverture ипе cabane gpacieuse. Les рау-
sans vont faire la des chAta@es du Grand-
Chhtaignier, у passent la auit.