XXVIII.

ЕВе'в

Nous n'entreprenons pas ici d'expliquer les саи—

ses du toonerre; assez d'autres l'ont fait avaot nous,

ипе discussion de се депге serait d'ailleurs btraog&e

аи plan de cet ouvrage; qu'il nous sumse de dire

que personne aujourd'hui пе doute de l'identitb de la

mati&e du tonnerre avec le nuide blectrique; nous

parlerons seulement de quelques eTets singuliers de

се terrible mbtbore.

Personne n'ignore дие les liqueurs fermentees

sont sujettes se tourner et s'aigrir la suite

d'un отаде, mais се qui est encore plus surprenant,

c'est de voir des substances sbches s'altbrer seosiblement

ои se perdre. Il у а vingt -cinq ans, aprbs qu'un

огаде eut 6clatb sur Dantzick, le fcoment et le seigle

qui se trouvaient entreposbs аи d6p0t gbnbral des

grains destinbs l'exportation, devinrent humides,

gluans, et d'une odeur nausbabonde qu'on пе put