noit ев wute la jour* da lendemain. Il sortait реш

Паште du cratbre, mais la eolonne de

et de pierfes са)сТЫ montait toujours ипе hau.

teur immense, et l'on пе cessait d'entendce des d6to-

nations semblables celles que prodiit ип tohnere

btain. Le Я, les sympt6mes devtorent pl«s тем-

eans; la mlonae. sans rien perdre de за htoteur,

s'blugit et se гепта ттте ип bal-

soleil пе регЕГ de ses rayoos l'at-

mosph&e 'bpaisse; оп n'avait аи milieu du jour qu'un

faible qui пе servait qu'i faire

toute l'hreur de севе scbne de destruction,

Chacun s'attendait ипе terible catastrophe. Les

0loos bclairbs,• se doutaient bien que les татуев

embrasbes cherchaient. se frayer ип passage аи—

delu•s, et qu'elles onverserabnt t0t ои tard les

±stacles qui s'opposaient leur lls пе

se trompbreot point, et vers Иа nuit оп vit ипе vive

s'blancer •de la bouche, du cratbre. Le lende- .

main fut le jour de la catastmphe. La Патте, la

fumbe, Иа pluie de pierres et de cendre acqu&aient

de l'intensitb, les dbtonationg devenaient plus frb-

qnentes et plus .la сете frbmissait quoiqu'il

п'у •e0t рад enbore db tremblement. Les Cararbes, qui

babitaient Morne-Ronde, аи pied de la “ufribre, aban•

leurs maisons, emportant leurs provisi06s