vaient avec la plus gra* rapiditb, d'autres marcbaient
lentemat ев avec majestb. Вгип et ses сотра—
goons de voyage craigaireot plus d'une bis d'&e
епитеИ8 les dbbris de quelqu'ooe de сед Ф-
lonnes, ее ils recurent адех souvent des ondbes de
sable que le vent leur• envoyait. Parmi сев colon—
nes, les unes prtaieot leur tbte јичи'аих nues;
d'autres se divisaient раг le milieu de la hauteur,
ои la tbte ±parait du corps. Celles-
ci пе tardaient рад et se di—er. Vers
le milleu du јоиг, toutes les qui restaient
debout, s'avanc&ent vers les voyageurs avec ипе
vttesse extraordioaire. Brun, еп vit мше, raogbes
sur ип seul rang; elles btaient encore trois mille
de distance; vues de се point bloigob, parais-
saient avoir ип dihmetre •de dix pieds. Heureuse-
ment le vent changea soudaio, et les pri—
ипе directioo opposbe; elles s'bloignbrent, mais
partant elles laiss&ent dans l'esprit des voya-
geurs ипв impression profonde d'btonnemeet,
de crainte et de terreur.
Quelques jours apru, М. Brun revit аи lever
du soleil ио grand nombre de colonnes touroantes.
П пе put les compter; il dit seulement, qu'elles
brmaient сотте ове forbt, et que leur diambtre
реи considbrable. Les rayons dd soleil qui les'