*пе, et alors elles QNissent la loi gbnbrale de

la nature, qui les force descendre.

BNous cour0mes bient0t aprbs ип danger d'une

autre esece. Uo соир de vent subit ouleva de

grandes masses de ваЫе, qui tour—

пег sur le sol, s'arrondirent еп tournant et prirent

la Ьппе de colonnes, dont la -tntait ипе

hauteur Ј'еп comptais trente ои qua-

rante la fois de toute dimension et је suppe qu'en

gbnbral elles avaient ипе soixantaine de pied8 de

diam&e. Aussit6t que mtre guide s'aFr•cut que

les tourbiIlons allaient se dissiper, il поив dit de

mettre tere et de oous cacher sous le ven-

tre des chameaux. Nous etmes peioe Ие

de Ие faire. Еп ио iostant поид inondbs d'une

pluie de sable si bpaisse, qu'elle поив Ма la dart

du јоиг.

Dans Ие eours de ses voyages la recherche des

sources du Nil, М. Brun а vu plusieurs fois сед

colonnes tournantes de sable; spectaole magoifque,

dit-il, mais efrayent! Ariv6 la partje du dbsert

qui est l'ouest de Chendi, il apereut “reotes

distances ип graod nombre d'immenses colonnes de

sablee quelques— впед tourbillonoaient et