— 111 —

tairie; nous еп •prlions ип jwr ohez Monsieut de Betzky

M-r le C•te de Cauniz, et mus lui raoontions tm.lt cela aveo

ип plaisir inexprimable. Votre M*st6 put juger si по&е

entretien 6tait anim6 ои поп, car оп parlait d' Elle, chacune

avait quelque c.hose de particulier dire: les unes ont еи l'hon-

neur d' btre les conductrices de Vou•e Маје", la autres di-

Bient, qu'elles 6taient de qui Votre MaFst6 ajet6

la fen6tre de sa propre main des biscuits dans les tabliers;

enfin tout се que Votre Majest6 а fait et dit, tout est grav6

dans notre mbmoire et п'еп sortira jamais. Nous supplions-

Votre Majest6 de nous conserver toujours sa bienvellance,

avec laquelle Elle nous а honor6es jusqu' pr6sent et d' 6tre

prsuad6e que nous ferois consister toute notre gloire тб-

riter d6sormais plus juste titre l'approbation de Sa Majest6,

l'honneur d'oser l'assurer рат 6crit du profond respect ауес

lequel nous avons l'honneur d' etre,

de Votre Majest6

les humbles

etc. etc. etc.

97-е.

Въ октябр% 1789 года Наталья Александровна, бывшая

тогда въ бЬомъ получила сйдующее письмо отъ

своего знаменитаго отца:

«Comtesse de deux empires (*)! Любезная Наташа Суво-

1ючка! Ай-да! надобно всегда только бла-

«Грина двухъ ИмиерТ» — Суворвъ почти въ одно вра подучил

отъ Импе1птрицы Екатерины и отъ Anpit-

скато (оси•а 11-го.