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двн.
e;toit que поп seulement les bour-
geois, тж les paysans dont l'etat
est nul partout ailleurs, avoient,
сотше i18 Pont encore, droit de
sufrage dans les diues nationa-
les.
— 173. Оп а dit qu'il avoit la
fin дадпб le grand Chancelier Вев-
tuchef, et que се ministre avoit
donn6 des ordres аи g6n6ral Ар-
raxin роит qu'il se retirat de la
Prusse. Il • est vrai que dans се
le comte Bestuchef ра-
rut moins contraire аи roi: mais
il n'est gubre probable que l'ar-
gent du roi de Prusse p0t avoir
plus d'inRuence que celui de la
France et de PAutriche auprbs
du comte Bestuchef qui 6toit аи
plus ofrant.
—173—174. Les ministres d'Au-
triche et de France, qui connois-
soient l'inclination du grand duc,
n'esp6rant point de le faire chan-
ger, tachoient аи moins d'empe-
cher qu'il n'ett de PinBuence t.ant
qu'Elisabeth r6gnoit et cherchoint
tous les moyens de le mettre та)
avec Pimp6ratrice r6gnante.
— 174—175. Се que се mini-
stre, faisoit trb probablement,
6toit de blimer aupru de l'imp6-
ratrice l'amiti6 que le grand duc
avoit pour Fr6deric, et de d6sap-
prouver la guerre que Pimp6ra-
trice faisoit la Prusse, lors qu'il
parloit avec le prince. Aussi Рас-
cusation principale dont.on char-
деа le chancelier, fut d'avoir ten-
t6 de donner de mauvaises impres-
8ions l'impbratrice contre le
grand duc et la grande duchesse,
C'est ип тепвопде, Выоисы
vouloit qu'Apraxin avanet.
C'est encore ип тепвопде, Вея
touchef 6toit d'une fermet6 opi-
ni'tre, et ja.mais оп пе le дадпа
par argent.
Il auroit 6t6 bien difcile qne le
neveu d'Elisabeth ett еа de l'in-
Ниапсе pru d'Elle, leurs
et leurs caracteres etoient teb,
que cinq minutes de conversation
devoient les brouiller indubitab-
lement, ceci est ип fait prouv6.
Bestouchef ennemis du Roi de
Prusse, soutenoit son avi8 hagt
la main, et jamais il пе Hatta le
gr. Duc.
NB. Онъ ero не возвратил и изъ
ссшхи.