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bonrg, que le czar avoit fort dis-

tingu6.

Рад. 224. Il se trouva dans les

papiers de Pempereur dUant plu-

sieurs lettres que le roi de Prusse

lui avoit 6crita аи sujet de вев

mecontentemens domutiques, .et

sur Ее dessein qu'il avoit de faire

renfenner Catherine dans ип то-

сотте Pierre у avoit

renferrR Eudoxie sa fem-

те. Frueric lui conseilla de пе

point faire de си coups d'eclat,

de tAcher de s'arranger de la

meilleure fawn qu'il pourroit, et

d'avoir pur son броиве tous la

(gards qui pouvoient ве concilier

avec ва propre tranquillitb.

Ibid. Catherine 11, convaincue

bonnes dispositions de Fr6de-

ric, пе voulut pourtant рад agir

contre l'Autriche.

Рад. 233. Fr6deric composa рп-

-dant la guerre plusieurs еп

vers, qui tiennent de l'616gie, et

qui 6toient efectivement des сот-

plaintes que les malheurs parti-

culiers et les d6sastres:publics lui

41ictoient.

Рад. 254—256. Ch. XXV.

roi craint de coir manquer за

succes8ion...

La mort d'un neveujeta Fr6de-

ric dansquelques inqui6tudes. De

quatre 61s qui surv6curent аи roi

Fr6deric Gauillame 1, etqui 8'6to-

ient tous mari6s, toute l'espbrance

d'une post6rit6 masculine 6toit Н-

duite \ипе seule t&te. Le roz п'а•

voit point d'enfans, etil avoit re-

П у еп avoit ипе, dans la quelle

Ие Roi conseilloit Pierre Ш (qui

vouloit faire la guerre аи Dane-

татк pour lui reprendre le Sles-

wig) de prendre avec lui les тб-

contens et сеих dont il se d6fe-

roit et de les laisser .k0nigs-

berg.

Les bonnes dispositions de Fre-

deric II pour l'Imperatrice п'е-

toient pas fort aver6s, сотте оп

le voit раг la remarque prec6-

dante.

Le Pr. Henry pr6tendoit, que le

Roi son fNre еп tenoit toujours

de pretes, et qu'il les tiroit deson

porte-feuille dans des occasions

scabreuses, afn qu'on s'etonna de

се qu'il avoit l'esprit ass6z libre

encore роит composer des ouvra-

дев d'amusement.

Encore n'6toit elle рад lui, la

1Nre elle тёте Pappelloit la petite

Moller, celui-ci etoit trompette dans

le R6giment du Prince de Prusse

d'alors Fred. Guil. Roi de Prusse

d'Apr6sent. La premi&e femme

пе pouvoit Ие soufrir; elle et Fre-

deric regardoit се Prince сотте-

ип sot lourd et епбиуеих. Le Prin- •

СБ de Ligne l'appelloit la Маиие

d'Hercule. Etant vena • P6ters-