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еи bieu de la peine те trainer jusqu'ici, ayant d6pens6
P6tersboug tous les fonds, que ј'у avais apport6s. Неи-
reuseIIH)t que le gouvemeur d'ici est ип de mes anciens amis.
ll т'а fourni de quoi payer la rbparation de та calbche et
de quoi m'acheminer jusqu'h Polotsk. Il пе те reste qu'h
r6itbrer les voux de tous les instants de та vie, c'est que
la sant6 et la s6r6nit6 ассотрадпе jamais la plus ador6e
des mbres.
Је joins ici des lettres de change que le petit SanLi т'а
donn6es.
Је prie m-lle Bates d'accepter mes amiti6s les plus sin—
cbres.
LXX.
Се 11 Mai (1798).
Quoique il п'у ait qu'un couple de jours que је vous
ai 6crit, топ cher ami, mais сотте mes amies еп Angle-
terre sont trbs inquiettes de пе pas recevoir de mes пои-
velles, j'ai pris la plume pour vous prier de faire parvenir
раг топ frbre l'incluse. Avez vous requ та lettre dontj'avais
charg6 la Boutourline de la remettre Pestel? Сотте
elle vient de те donner ипе forte preuye de son 6tour-
derie, пе m'ayant pas envoy6 le chapeau dont је l'avais
cherg6 de faire emplette et de la cire cacheter, quoique
miss Bates а 6t6 Moscou 4 jours, се qui faisait 16 aprbs
qu'elle avait 6t6 ici et que la Bates 6tanL chez elle lui avait dit
qu'elle partait le lendemain et у envoya encore ип domestique,
је creins qu'elle aura oubli6 ои perdu та lettre aussi. Le
manre de poste de Серпуховъ т'а dit que votre ami est
Moscou. Aurez yous le plaisir de le voir? Personne pres-
que de Moscou пе m'6crit; је suppose que Pariv6e pr.ochains
de l'Empereur absorbe et оссире tout le monde, et је suis
dans la plus parfaite ignorance sur tout се qui se fait, сот-
те Bi j'6tais аих antipodes. Је пе те prombne jamais dans
топ jardin sans regretter чие vous пе le voyez dans son