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la Chine. Mais је пе pourrai pr6sent que porter ип јиде-
ment provisoire. Plusieures donn6es те manquent роит faire
ип calcul appr6ciatoire de l'utilit6 d'un commerce 6tranger,
qui топ avis n'est jamais bon autrement qu'il sern alimen-
ter le commerce int6rieur. Plus ипе marchandise, soit du
du pays ои 6trangbre, passe раг diT6rentes mains, plus elle
doit 6tre pr6cieuse аих уеих de l'administration. Une mar-
chandise qui, еп entrant dans ип pays, va droil аи consomma-
teur, n'est pas et пе doit pas 0tre ип objet pr6cieux. Је пе
те permettroi ici qu'une seule consid6ration; топ avis il
п'у а que le grand manque de th6, dont l'usage est devenu
n6cessit6 premibre, qui feroit d6sirer [е commerce avec la
Uhine. L'extraction du kitaika est plus pernicieuse pour la
Russie qu'utile. Се manque absolu des дабы, espbce de grosse
toile de coton, des kitaika et des petites 6tofes de soie de
Chine, а fait que Роп соттепсе h cultiver le lin еп Sib6rie:
culture qui у 6toit tout fait 6trangbre. Si оп a116gue еп
faveur du commerce chinois qu'il enlevoit toute nos pelle-
teries, је dirais que pregque tout се qu'on recueille de cette
marchandise dans la Sib6rie se d6bite еп Russie; la meil—
leure et celle que les Chinois demandenl se tire des iE Aleoo-
tiennes et autres. Un commerce qui 0te l'agriculture les
bras, qui pourraient lui 6tre consacr6s, ип commerce de rapi-
nes, qui 6toufe dans [е сшит de l'homme le germe de la
piti6.. tirons le rideau. Ее пе vous у trompez pas; le roi-
telet Ch61ekhoH п'а pas demand6 des soldats роит rien. Оп
т'а dit, ев la chose ast, dit оп, certaine, le colonel Bentham
lui а donn6 hommes de son bataillon pour suivre ses
conquotes. Је finis; mais је пе le puis sans vous теп-
dre des actions de grace; саг, de quelque g0t6 que је те
tourne, је те vois entour6 de vos bienfaits. Dieu fait le-•
ver le soleil роит 6clairer l'univers; mais c'est vous que
је dois топ existence. Si j'ai ип moment heureux, c'est
vous que је le dois, et si је n'ai pas de place pour faire