во.
Du 7 Septembre (1796). St. P6tersbourg.
Је viens de recevoir dans le moment votre lettre, et m-r
Witworth т'а pri6 de lui envoyer la mienne trois heures,
саг воп courrier part. Ainsi је n'ai рав de tems perdre, et је
те suis bien press6 de rentrer chez moi роит vous 6crire.
V.ous n'avez рад d'id6e, monsieur le comte, quel point votre
r6solution de rester Londres т'а fait plaisir. Је n'ai pr6vu
qu'une suite de d6sagr6ments dans l'ex6cution de votre pre-
mier projet, et j'ai r6ellement ипе reconnaissence monsieur
votre frbre de vous avoir communiqu6 son opinion. Vous devez
vous rappeler le s6jour du m-al Roumanzow dans ипе сатрадпе
prbs de Jassy, pendant la dernibre диете. C'6tait votre сад,
mais се qui aurait rendu votre situation plus d6sagr6able,
c'est l'6tat pr6sent de l'Europe, qui vous interdisait le s6jour
dans des endroits que vous auriez choisis pour vous fixer et
achever ипе 6ducation dont d6pend et votre bonheur et celui
de vos enfants. Ainsi, monsieur le comte, entrez mzintenant
leur service et faites du bien й votre pays; vos vertus vous
serviront de r6compenses: les places accord6es la brigue et
la faveur пе sont рад faites роит ип homme tel que vous.
Elles пе peuvent qu'61ever votre ате et couvrir de honte
сеих qui peuvent oublier ип instant que vous existez et que
vous contribuez la gloiro de votre Patrie et de votre Sou-
verain.
Vous avez tort de croire que је donne mes lettres аих
commis de поз bureaux; c'est ипе епдеапсе trop vile роит
qu'on puisse leur accorder la moindre сопйапсе; jamais аисипе
de тев lettres пе sera сопЙ6е ces messieurs, рад тёте