овруч—в в. кипы АЛИСАВДРЫ съ королиъ швкдсввиъ. 147

Enfn m-r Zoubow, пе pouvant prendre gur lui d'6tre le por-

teur d'une aussi mauvaise nouvelle, ft entrer le comte Маг-

cow, qui d6clara l'Imp6ratrice qoe le roi consentait venir

аи bal et аи souper, mais qu'il пе voulait рад se fancer avant

que tout пе fut arrang6. Alors l'Imp6ratrice se mcha telle-

ment, qne les gens de l'int6rieur craignbrent pour ва vie. Оп

renvoya Marcow chez le rof, avec ип 6crit de la main de

l'Imp6ratrice ой tons les articles 6taient •margin6s. А celul

ой l'on exigeait ип libre exercice de la religion pour la

grande-duchesse quand elle serait reine de Subde, le roi prit

ипе plume et le raya. Marcow revint, retourna encore, et се

n'est qu'i 9 henres que l'on envoya dire аи roi qu'il ponvatt

rester chez loi. Pendant tout се temps-lA le pr. Zoubow пе

faisait qu'aller et venir chez le grand-duc pbre, pour lui rendre

compte de_ се qui se passait.A 9 heures et demie, le prince

Barjatinsky, grand-mar6chal de la cour, parut avec ипе phy-

sionomie toute renvers6e ее аппопеа tout le monde que

le bal n'aurait pas lieu, саиве de l'indisposition de l'Imp6-

ratrice. grand-duc fut chez elle, la erouva dans ипе agf-

tation violente et voulant donner les ordres pour faire enle-

ver le baron de Flemming (pr6tendu favori du roi) et l'en-

voyer еп Sib6rie; mais le grand-duc parvint la calmer. L'Im-

p6ratrice avoua le lendemain que la nuit du 27 аи 28 Juin

n'6tait rien еп comparaison de celle-lA.