письп КЬ БАРОВУ КРЮДВВРУ.
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а еи des nouvelles positives de Stokholm et de Copenhague,
qu'il у avait ип armistice pareil еп Finlande. Је lui ai de-
mand6 s'ils avaient aussi cette nouvelle de P6tersbourg. П
т'а r6pondu que поп; mais que c'est apparemment cause de
l'6loignement du lieu qui а fait tarder la confrmation. Је
l'ai assur6 que cela est faux, puisqu'il у а d6jA plus d'un
mois que la Subde а .d6bit6 cette fable et que de P6tersbourg
оп пе marque rien qui puisse la confrmer, et que cette fable
п'а 6t6 imagin6e Stokholm чие роит gagner du temps et
arr6ter les op6rations danoises.
Monsieur Pitt т'а assur6 de nouveau, que jamais l'Angle-
terre п'а song6 menacer le Danemark, et роит се qui est
de sa pr6tendue lettre аи comte Herzberg, il т'а dit que поп
seulement il п'а pas 6crit cette lettre, mais qu'il п'еп а jamais
6crit аисипе се comte, et que si jamais il 6tait dans le сад
de lui 6crire, се пе serait certainement pas dans le style que
monsienr de ВогК а bien voulu lui preter. Tout oela doit
vous pronver, monsieur, que la conduite d'Elliot est le r6sultat
des instigations de Berlin plut6t que de Londres, que le mi-
nistbre prussien а cru pouvoir intimider le Danemark et qu'il
а 6t6 bien aise de trouver ип fol qui а voulu prendre sur
soi tout l'odieux de l'ex6cution.
ll те semble qu'aprbs tout cela le comte Bernsdorf doit
envoyer ici les lettres qu'Elliot lui а 6crites, ainsi que celles
qu'il а adress6es аи •prince de Неве; autrement оп пе те
croira plus ici sur rien et је пе serais plus d'aacune utilit6
роит le bien du service de notre cour et de celle de Da-
петпК.