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sont d0s notre respectable chef; dans l'intbrieur beaucou:)

parties prennent ипе forme et s'ambliorent. Il п'у а que

celle de la justice qui clochc extr&mement, et cela jette ипе

grande ombre sur toute l'administration. La partic de la

justice est еп efet la plus importante et de laquelle les

habitants se ressentcnt le plus directement. Il faut mettre

sous се тёте paragraphe се que vous dites, monsieur le

comte, sur le Se;nat; mais tout cela пе tient qu'i ип seul

honune, dont l'€loignement serait indispensable, et c'est се

qui те rend certain qu'il пе peut mallquer d'avoir lieu *). Pour

се qui est de la dont se traitent les afaires dans

le Comit€ des Ministres, n'est-ce pas la maladie et la

lnngue absence du comte votre qu'il faut l'attribuer еп

partie? се реи dc donn6es c'est vous-m&me que

је laisserai faire les conclusions, monsieur le comte, et

је пе crois pas qu'elles soycnt conformes celles qui se

trouvent dans votre lettre, et је dois vous avoucr qne је

пе pourrai pas C•tre de votre avis sur cet objet, et que tant

дие cela sera еп топ pouvoir, је croirai faire топ devoir

еп tachant d'engager le cbancelier dif6rer sa retraite.

que vous пе jugerez pas та conviction cet 6gard

сотте ип manque d'attachement pour lui, car оп пе peut

lui еп porter davantage et prendre plus d'inter>t sa sant.6,

qui, grace Dieu, va parfaitcment bicn.

J'ai tAch6 de m6riter la confance dont vous voulez bien

m'honorer, monsieur le comte, еп у rbpondant avec ипе

franchise; j'ai ex6cut6 vos ordres еп omettant les

cxcellences et tout се qui est c6r6monieux; vous pouvez

bicn compter que votre lettre пе sera montre;e personne.

ll пе те reste qu'i vous supplier, monsieur le comto, dc

те continuer votre amitib et de croire топ respcct.

*) говоратса о Г. Р. Держаяин±.