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роит retourner ici. J'ai bien partag6 votre peine, de
тёте que la joic que vous avez ressentir еп apprenant
qu'il avait 6chapp6 la maladie et аих dangers d'une саш-
радпе aussi fatigante et perilleuse.
M-r Tatistcheff va nous quitter топ grand regret.
C'est ипе perte r€elle que је fais, car vous savez qu'il
d'un grand secours dans le travail. Depuis longtems
il d6sirait s'en aller son poste. Son sFjour d'ici пе lui
convenait pas: il avait еи des d6sagr6ments. J'ai tAch6 de
le retenir aussi longtems quc possible; mais il а fallu c6der
enfn, et j'eusse manqu6 de d61icatesse еп abusant trop longtems
de sa eomplaisance. Le d6part du g6n6ral Lacy lui para ипе
circonstance dont il fallait profter pour insister etre envoy6
son poste, • qui devenait int€ressant dans les circonstances
prFsentes * ) •
Si l'envoi dc m-r de Winznegerode Berlin п'а рад
assez d'inHuence роит faire changer de conduite cette соит,
аи moins nous еп retirerons l'avantage de voir plus clair
dans sa politique et d'avoir des notions plus certaines sur
m-r d'Alopeus qui quelquefois est vraiment incomprehensiblc.
La que је vous 6cris, m-r le comte, sur l'alliance
avec la Turquie, se ressent ип реи de la rt;ponse que la
cour de Londres nous а donn6e се sujet. La prudence
l'exigeait ainsi. Ј'ечтте аи reste que vous serait satisfait
des instructions qu'a requcs m-r Italinsky. J'ai pr6venu се
dernicr de l'avis que vous avez bien voulu те donner relati-
vement son chancelier.
Il est bien fAcheux que la negociation entambe entre
l'Angleterre et la Suue ait 6t6 aussit6t соппие par la
France et la Prusse. Је vous prie, m-r le comte, de precher
beaucoup ой vous etes роит qu'on prenne toutes les pr€cau-
• ) Назначеввый въ Неаполь, Д. П. Татищевъ MH0Tie м%сацы оставался въ
Петербурњ.