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Получ. (13) Анр•Ьля.
l,ondres, le [О (П) Mars 1814.
Је vois qu'il у а ипе lettre que vous m'avez Ccrite
aprbs l'afaire du 7 prbs de Craon, ой vous соттап-
diez et qui а dtl etre la chose la plus brillante et la
plus honorable роит vous; саг vous те dites dans
eelle, laqnelle је r6ponds: aprbs та dernibre,
nous nous sommes batt us 2 jours ici
L а о п. От, la dernibre чие .j'ai еие de vous, avant celle
de Laon, 6tait (lat6e de Namur (lu 18 ои du 19 F6-
vrier. 0utre que vous n'avez jamais ekt6 si 10ngtems
sans m'6crire, је sais aussi que vous avez еи toujours
la charitable attention de m•ccrire le jour тёте que
vous sortiez de quelque affaire p6rilleuse, сотте vous
l'avez fait Borodino et Leipzic, et сотте cette
afTaire de Craon btait trbs-chaude et que c'est que
le fils du malheureux comte Strogonoff а еи la
emport6e (l'un boulet,: сотте vous et moi nous som-
mes li6s d'amiti6 avec. cet infortun6 p&re et que vous
пе те dites rien sur cet 6v6nement funeste, се qui n'est
pas naturel: cela те prouve d'autant. plus que votre
lettre du 7 ои du 8 пе m'est pas parvenue. Celle аи
11 est venue par le c.ourrier (lu colonel СооКе; si vous
u.viez donn6 1'autre аи тёте colonel он аи colonel
Lowe, qui еп voya ип l'aurais reeue (16j* mais
је suppose qu'elle те viendra par la malle de Hollande.
Еп attendant је remercie sans c,esse la bont6 divine
qui vous prot6ge, топ trbs-cher Michel, аи milieu de
tant, de dangers. Voici ипе lettre de Catinka, qui, mal-
qu'il пе voUs est rien arriv6, est tout-bfait (16-
compos6e, се que је vois рат sa lettre. L'id6e du рё-