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le тоуеп et le bas Rhin, sans comprendre les Russes,
qui sont trop 610ign6s роит arriver tems et qu'on пе
(loit pas attendre; car sans еих les forces des
alli6s sont trop sup6rieures celles que pourrait leur
opposer le Corse. Les notres pourront avancer et su-
vre les autres, et faire dans cette сатрадпе се que
faisaient toujours dans les batailles de la guerre pass6e
les gardes du Corse, qui servaient de r6serve et don-
naient le dernier соир de collier. Les arm6es alli6es, еп
s'avangant, perdront naturellement du monde, s'afaibli•
ront: il sera avantageux роит elle de se voir soutenir
et de passer роит ипе arm6e nombreuse, bien discipli-
пбе et brave qui est encore intacte. Се sera alors cette
armbe qui aura la gloire de terminer d6cidbment la
victoire du c0t6 de la bonne cause. J'espbre que dans
cette сатрадпе nous aurons ипе armCe russe, tandis
que dans les campagnes de 1813 et 1814 il п'у avoit
que les armbes pr6tendues autrichiennes, prussiennes
et тёте su6doises; aussi tout le m6rite de la bravoure
de nos troupes, de l'intelligence de nos g6n6raux, пе
faisait аисип 6clat dans le monde; toute la gloire btait
attribube Schwartzemberg, Bliicher et Bernadotte.
192.
Получено 8 Тюня.
l,ondres, 5 (17) Mai 1815.
Vos r6flexions, топ cher Michel, sur les princes de
la maison de Bourbon sont tr&-justes. Quoique le duc
d'Angoulehne ait marqub du courage personnel, mais
cela пе suffisait pus: il fallait avoir plus de jugement
et de fermet6 et пе pas se laisser duper par се coquin