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Londres, le 10 (22) Janvier 1819.
J'ai 6t6 се matin chez le duc de Wellington, que
j'ai trouv6 chez lui, pour le remercier роит la nouvelle
marque d'amiti6 qu'il vous donne l'occasion de l'ordre
que le prince-r6gent vous donne, еп lui disant еп
тёте tems que• toutes ces d6corations n'ont de valeur
que рат le •тоуеп dont оп les obtient et que celle que
vous avez reyue, 6tant la cons6quence de la bonne
opinion qu'il а de vous aprbs avoir 6t6 pendant З ans
sous ses ordres, est се qu'il у а de plus Hatteur роит
vous *).
Il s'est beaucoup informb de vous, quand vous arri-
verez dans се pays, et а par16 de vous avec beaucoup
d'intCret et d'amiti6. Sur votre arriv6e ici је n'ai ри
lui rien dire de positif, mais que је crois qu'aprbs
avoir arrang6 Paris се qui regarde les malades de
votre corps, qui restent еп France jusqu'au printems,
et aprbs avoir mis ordre vos propres afaires (се qui
vous prendra 15 16 jours dans la capitale de France)
vous viendrez ici; que је n'ai pas de nouvelles de votre
arriv6e Paris et que la dernibre lettre que jai еие
de vous 6tait de Leipzic, du 26 X-bre.
Que dites-vous de cette mort si subite aprbs ипе
maladie de 6 jours et qui n'6tait pas du tout alarmante
de notre grande-duchesse Catherine, reine de чтит-
temberg? Elle n'avait que 30 ans. Се sera ип соир
trbs-sensible роит l'Empereur, роит sa mbre et pour
le grand-duc 00nstantin; car c'est celui-ci qui 6tait
le plus li6 avec el]e. Les gazettes disent que le jour
3) РТчь идетъ 66ъ ордепћ Бани. П. Б.