Ив troupes frangaises; таш ооттв toutB les stipulations

qu'on pourra an6ter пе seront bas6es que sur l%ypotwse d'un

trait6 subsidiaire entre l'Anglgterre et la SabdB, c'est wt

fntur qa'il faut rappoRer la probajlit6 de faire entrer

он le roi de Suue dans ипе coa!itbn cont6 la Franoe.

DMn autre см, il faut prendre garde que les subsMes n'exMent

рав les bB0ins de son аппбе qai agira еп Allemagne,

afin qu'il пе puisse appliqner CBt exddant quolque usage

qni пв uait рад de notre сопчевапсе. Comment, аи roste,

n6gociaa-t-on со trdit6 de subsidesq Lord НапотЬу пе veat

ps trangr aveo Silvahiehn; roi не le veat point сьапдет

et pourrait s'obstinr le garder IMdws, d'autant phs qu'il

est l'ami intime de Lagherbielke, qui jouit de toute la сопПапсе

du roi de Subde.

La cour de Berlin, 6tonn6e elle-m6me de l'6nergie qu'elle

а montr6e dans l'afaire de Rumbold, voudrait actuellement se

reposer sur le lau— qoe ов .tmit • d'Uroine lui а cueilli.

Оп lui а fait sentir d'ici qu'elle avait trbs-bien соттепсб, mais

qu'il fallait achever la besogne еп amenant Bonaparte ипе

r6paration pour Иа violenee qu'll а exercde sur пп territoire

neutre. 1,Ћоппае Alopeus se conduit toujour de тете, et talR

qa1l gardera воп post6, nous пе sanrons jamais quoi nous

еп tenir snr les v6ritables dispositions de la Prusse. Dans се

moment-ei m-r de Hardenberg montre ипе certaine vel16it6 de

se rapprocher de l'Autriche l'efet de s'entendre avec les

deux cours imp6riales pour r6unir leurs eToHs contre l'amibi-

tion d6mesnr6e de la France; mais il est fort craindre qne

се пе soit ип leurre, jet6 еп avant роит apprendre аи juste

od поив еп sommes avec la cour de Vienne, et s'en faire

ensuite les honneurs vis-h-vis de Bonaparte. Aassi la cour de

Vienne, qui craint le pi6ge, a"t-elle presorit son ministre

Berlin иве gande circmspection dang les ouvertnres dont elIe

Та charg6e, par lesqudles, еп manifestant beaueoup de bonne