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ultnatnm, ее q—ue lni persnnelbment paraise еп
saUstaiB il п'а рав pendre sur lai de signer la сопчеиЈои
Hlo qae поив la pr•pons et il а• envoy6 пп oourier аи roi,
?invitang еп qa'il атоме le projet, d'envoyer dtM
поте Швв ratlications. A08“t qae oettB antrt зет
%min6e d'une manlbfB quolcoBqu, је n'6contni plus qao
топ 1траЖое de vous aller embraHtr. Еп attendant јв fai8
Ив неах pour quo votre sant6 se raTermisse ее qtlB le pr*t
dont vou то ранев роит l'annde preehaine Flisse 6tre ајнтб
loin.
54.
Нь нву п.
Се 16 d6cpbre (1804).
Је viens de recevoir votre lettre du 9. Pourquoi donc croyez-
vous qae је puisse пе рад veniB Sans les lenteurs intermi-
nables du baron Stedingk је serais d$ auprb8 de vous;
mais tout cela пе peut дфе tratBT plus d'une quinzaine •de
jours.
Biscille, dont vous m'avez envoy6 la lettre, avait тери
l'ordre de•se rnhe auprbs du c•te Nooenigo, auqae) оп avait
de lui donner ип des eo•sulat auxqaeb оп l'avait aat•ri"
da пот— et dt lui donner јищи'ћ qu'il soit р“,
6cus mois. Маш cet homme, аи lieu de se rendre Cor•
s'"tine P6ra; il п'а pas raton de н
*iBdre de се qu Iooeni0, le veyant ри ariver, п'а plas
song6 lai. Quaat BarMzi, il m'6crivait 16tre sur bttro
bmandant de ИЬапаиет dB son secr&ire Майо Pili,
r6pant sans cesse que е'в* ип polB80n qui по sait ni lire ni
bns ааоипе Ипди, «е пе peat рав и ра.т И
secr6taire et que celui-ci пе lui 6tait bon rien. П т'и ц